Retour sur notre visio : Quel véhicule choisir en 2025 ?

Le choix dépend principalement de votre usage :

• Moins de 10 000 km/an, usage urbain → essence, micro-hybride ou full hybride.
• Entre 10 000 et 25 000 km/an, usage mixte → hybride (non rechargeable ou rechargeable).
• Plus de 25 000 km/an, longs trajets → diesel, hybride non rechargeable ou électrique (si la recharge n’est pas un frein)
• Petits trajets quotidiens et recharge possible à domicile → électrique.

L’hybride non rechargeable combine moteur thermique et électrique, ce qui réduit la consommation en ville. Le diesel reste intéressant sur longs trajets, mais moins pertinent en zone urbaine à cause des restrictions.

• Full hybride : pas besoin de recharger, consommation réduite en ville et aussi sur route.
• Hybride rechargeable : idéale si vous rechargez régulièrement (autonomie 40–80 km en électrique).
  Si vous ne pouvez pas recharger, le full hybride reste plus cohérent.

• GPL : économique à l’usage, émissions réduites, réseau de stations encore limité.
• Éthanol (E85) : carburant abordable, intéressant pour gros rouleurs, mais nécessite un boîtier homologué.
• Hydrogène : technologie prometteuse mais encore très rare et coûteuse à ce jour.

Oui, globalement les marques japonaises (Toyota, Honda, Mazda) conservent une très bonne réputation de fiabilité, notamment sur les hybrides. Les françaises et européennes ont cependant beaucoup progressé.

Les constructeurs chinois progressent vite, surtout sur l’électrique. BYD est déjà reconnu pour ses batteries performantes. Reste à vérifier le réseau d’entretien et la revente.

L’autonomie dépend de la capacité de la batterie (en kWh) et de la saison :

• En été : l’autonomie annoncée est souvent respectée.
• En hiver : elle peut baisser de 20 à 30 %.
  La puissance en kW ne détermine pas l’autonomie, c’est la capacité en kWh qui compte.

En moyenne 8 à 15 ans selon usage et température. Les constructeurs garantissent souvent 8 ans / 160 000 km.
La recharge ultra-rapide accélère l’usure si utilisée trop souvent (chauffe accrue).

Oui, mais le coût est élevé. Sur un véhicule ancien, il est souvent plus intéressant de changer de voiture que de batterie.

Les incendies restent rares. Les batteries sont protégées par des systèmes de gestion thermique. En cas d’accident, le risque est maîtrisé mais pas nul.

Les véhicules européens utilisent principalement le Type 2 (AC) et CCS (DC). La plupart des bornes publiques acceptent la carte bancaire ou une appli dédiée.

Les tests indépendants (ex. : Avere, Automobile Propre) publient les autonomies réelles. Certains véhicules permettent aussi de suivre l’usure via diagnostic ou application constructeur.

Oui, la plupart démarrent en électrique, sauf par grand froid ou batterie vide.

• D : conduite normale.
• B : frein moteur renforcé, idéal en descente ou en ville pour régénérer la batterie.

C’est essentiellement une question de réglage moteur et de puissance cumulée, sans changement majeur de technologie.

Non, au contraire : moins de pièces d’usure (pas d’embrayage, peu de freinage mécanique). L’entretien reste légèrement plus cher que sur une thermique, mais plus faible que sur un diesel.

Oui si elle est avantageuse : les contrôles sont moins fréquents, mais les révisions constructeurs restent obligatoires pour conserver la garantie batterie.

• LOA / LLD : idéale pour rouler dans un véhicule récent, sans souci de revente ni de batterie.
• Achat : pertinent si vous gardez le véhicule longtemps.

Oui, mais cela entraîne souvent des frais élevés. Mieux vaut négocier avec le loueur ou transférer le contrat.

Le montant du loyer dépend du prix du véhicule, de la durée et du kilométrage choisis, de sa valeur estimée à la fin du contrat, et de l’apport initial versé au départ

Vous pouvez racheter le véhicule en fin de contrat, transférer la LOA (selon le type de contrat) ou résilier avec pénalité.

Le leasing social (apport pris en charge) ne bloque pas les futures aides, mais les conditions peuvent évoluer. À vérifier avant un nouvel achat.

Oui, c’est possible, mais il faut vérifier la capacité batterie et la garantie résiduelle.

Privilégiez une voiture simple, compacte, avec bonne visibilité, sièges hauts et commandes intuitives. Exemple : Toyota Yaris Hybrid, Renault Clio E-Tech, Dacia Sandero.

• Moins de 10 000 km/an → essence ou hybride léger.
• Usage urbain + petit budget → mini voiture électrique urbaine.

• 30 000 km/an → diesel ou hybride non rechargeable. L’électrique, possible si la recharge n’est pas un frein
• Ville + longs trajets occasionnels → full hybride ou deux véhicules complémentaires.

Une voiture simple, fiable, avec aides à la conduite basiques. L’électrique peut être un bon choix si la recharge est facile à domicile.

Pas forcément, privilégiez une occasion récente ou une LOA courte.
Vérifiez toutefois les conditions d’âge fixées par le financeur avant de signer.

L’électrique émet moins de CO₂ à l’usage, mais la fabrication (surtout des batteries) est énergivore. L’avantage écologique devient net après environ 30 000 à 50 000 km.

• Paris : seuls les véhicules Crit’Air 0, 1 et 2 sont encore autorisés.
• ZFE : la suppression a été votée mais pas encore promulguée, donc toujours en vigueur à ce jour.

La décote est forte les premières années, mais se stabilise ensuite. Après 7 à 10 ans, la valeur dépend surtout de l’état de la batterie.

Le GPL émet 10 à 15 % de CO₂ en moins que l’essence.
L’hybride réduit la consommation et donc les émissions, surtout en ville.